Allers-retours à la case départ (2018)
"Allers-retours à la case départ", Projection mapping, 2018
- La femme s’inscrit ici dans un espace domestique, elle correspond à ce que la société attend d’elle.
- Elle porte ce qui lui est suggéré par la mode ou, et les contraintes religieuses.
- Les obligations administratives s’imposent à elle lorsqu’en tant qu’immigrée, elle doit faire preuve de son identité de femme et de citoyenne.
- L’homme définit les frontières encore réduites de l’univers féminin, les libertés mêmes y sont mesurées en fonction des rôles bien définis.
- L’homme et la femme se réconcilient, trouvent un terrain d’entente, une forme d’harmonie et esquissent ensemble un pas de danse.
- L’Interrogation, le vagabondage, l’absence de but éreintent une roue coincée dans un cycle sans fin.
- Ici encore, l’homme modèle la femme pour qu’elle corresponde au rôle qui lui est dévolu, des attentes qu’elle est supposée incarner.
- L’homme tente d’échapper à une forme de prédestination en relation avec son passé, avec ce qui le façonne dans son quotidien mais, au bout du compte, il se résout à occuper la place qui lui est attribuée; même s’il modifie en partie sa cellule, il entre à nouveau dans la case qu’il doit occuper.